Trois CD audio d’une heure chacun, cela représente trois heures d’accompagnement, trois heures pendant lesquelles Sylvie Roucoulès vous prend véritablement par la main pour vous guider et vous aider à trouver le bonheur avec toute son expérience mais plus encore avec tout son amour de l’humain, sa formidable capacité de compassion et de gratitude. Sa voix cristalline, douce, posée mais jamais monotone pénètre au plus profond de vous et vous enseigne comment vous réaliser pleinement avec une efficacité qu’aucun livre ne saurait atteindre.
Délicate, poétique et d’une grande humanité, la plume de l’autrice est une douceur qui s’installe confortablement dans les cœurs pour y diffuser toute sa chaleur. […] Quant à la voix de Sophie Frison, subtile et tout en nuances, elle arrive à capter l’essence du roman et à lui apporter des effets de texture intéressants.
J’ai oscillé entre une peine immense dans le premier tiers, une compassion de sororité dans la seconde, une tendresse considérable dans la dernière. […] Maia Baran incarne incroyablement ces deux femmes, comme si elle racontait des épisodes de son propre vécu. Elle est habitée, je ne peux pas l’exprimer autrement.
J’ai adoré ce roman tendre, délicat, qui décrit avec subtilité le deuil et la résilience. Comment survivre à la mort brutale? Comment survivre à ceux qui étaient tout pour nous? Et comment s’autoriser à continuer à vivre? […] C’est un très joli roman, loin d’une romance à l’eau de rose qui tire ses ficelles faciles.
J’ai été agréablement surprise par cet ouvrage qui, sous un premier abord léger, m’a donné à réfléchir. Le regard d’Alice sur ce qu’elle est devenue en 10 ans et sur la critique qu’elle fait de sa vie m’a pas mal remuée. Forcément, je me suis demandée ce que penserait la moi 10 ans plus jeune sur ma vie d’aujourd’hui, est-ce qu’elle serait aussi critique et déçue qu’Alice ?
Emmanuel Dekoninck est juste parfait dans cette lecture, donnant de la vie aux personnages sans surjouer. On sent parfaitement la tension qui règne dans cette histoire, on se retrouve à Stockholm, en plein hiver, et c’est à peine s’y on ne grelotterait pas avec les personnages. Je suis heureuse d’avoir choisi de l’écouter plutôt que de le lire. 16 h d’écoute, on peut dire que j’ai bien été immergée dans l’histoire.
L’écriture est fine, sensible, chaque mot bien choisi. Il m’a fallu seulement quelques sessions d’écoute pour ce livre audio, que j’ai trouvé captivant et que j’avais beaucoup de mal à laisser de côté. C’est l’auteure elle-même qui lit son texte, avec beaucoup de délicatesse.
J'ai été transportée littéralement dans cet endroit très spirituel qu'est le téléphone du vent. Ce livre, c'est la douceur des sentiments mélangée à de la douleur […] Il y a des livres qui se lisent avec les oreilles pour accentuer la magie de l'instant. Ce que nous confions au vent est l'un de ses romans. La voix parfaitement posée et douce de Clara Brajtman est en parfaite symbiose avec le texte.
J’ai adoré suivre le cheminement de l’inspecteur Sauer, dans ces temps troublés qui annoncent la fin d’un monde. On a l’impression d’une marche inexorable vers un désastre que nous, lecteurs connaissons. La narration de Nicolas Matthys est juste parfaite. Dès les premières minutes d’écoute, j’ai été happée par le récit.
Maintenant que je l’ai lu – enfin écouté – ce roman, je suis assez épatée par le travail de recherche et je m’interroge sur la part de fantasme que contient son histoire (même si les remerciements sont là pour remettre un peu les choses dans leur contexte). Car si L’Ange de Munich est dense et fouillé, il est aussi basé sur une histoire vraie que j’ai complètement découverte. Et quelle histoire ! […] L’Ange de Munich a donc été ma grosse surprise du prix Audiolib 2022. J’ai trouvé que la voix du comédien belge Nicolas Matthys était parfaite pour cette histoire sombre et très masculine – même si le fantôme de Geli est au cœur de l’intrigue.
C’est très immersif dès les premières pages et la tension monte au fur et à mesure (le huis clos renforce cette sensation d’ailleurs) - Mélanie Dorlé
La voix m’a captivé du début à la fin. Elle m’a envoûtée, j’étais avec elles, je vivais à leurs côtés. Une écoute qui a beaucoup résonné car je l’ai écouté en plein confinement. Quand la fiction n’est pas si fiction et s’invite dans notre réalité.