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Rhapsodie des oubliés

Sofia Aouine
Parution : 16/09/2020Durée : 4h43Collection : Littérature
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Couverture : © Leon Liu @leoncooper
Dans une langue explosive, influencée par le roman noir, la littérature naturaliste, le hip-hop et la soul music, Sofia Aouine nous livre un premier roman éblouissant. Il fallait le talent d’Ariane Ascaride pour incarner avec autant de justesse cette écriture qui allie humour et drame, et ces « oubliés  » que sa lecture nous rend inoubliables.
« Ma rue raconte l’histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s’appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans. »
Abad, treize ans, vit dans le quartier de Barbès, la Goutte d’Or, Paris XVIIIe. C’est l’âge des possibles : la sève coule, le coeur est plein de ronces, l’amour et le sexe torturent la tête. Pour arracher ses désirs au destin, Abad devra briser les règles. À la manière d’un Antoine Doinel, qui veut réaliser ses 400 coups à lui.
Rhapsodie des oubliés raconte sans concession le quotidien d’un quartier et l’odyssée de ses habitants. Derrière les clichés, le crack, les putes, la violence, le désir de vie, l’amour et l’enfance ne sont jamais loin.
Dans une langue explosive, influencée par le roman noir, la littérature naturaliste, le hip-hop et la soul music, Sofia Aouine nous livre un premier roman éblouissant.
Il fallait le talent d’Ariane Ascaride pour incarner avec autant de justesse cette écriture qui allie humour et drame, et ces « oubliés » que sa lecture nous rend inoubliables.


Avec la participation de l'auteur pour la lecture du chapitre 9.

Suivi d'un entretien avec l'auteur
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Un roman lu avec beaucoup de vivacité et de justesse
J’ai vraiment aimé ce roman. Ce qu’il raconte est difficile, mais l’espoir est présent tout au long du récit
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J’ai aimé le style cru et néanmoins onirique, car derrière l’argot se cache la réalité du jeune narrateur. Il n’a pas de filtre, il prend tout ce qu’il vit avec l’hypersensibilité du jeune garçon qu’il est, durement, crûment… Avec toute l’espérance que lui permet toutefois son âge. Un roman lu avec beaucoup de vivacité et de justesse par Ariane Ascaride que j’ai vraiment pris plaisir à écouter. 

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