À la fin des années 1970, un jeune fugueur évadé de Brooklyn, fils d’un Haïtien et d’une Portoricaine, recouvre les murs de Manhattan de phrases énigmatiques qu’il signe du nom de SAMO. Quatre ans plus tard, riche et célèbre, devenu l’un des chefs de file de la nouvelle scène artistique underground, aux côtés de Keith Haring et d’Andy Warhol, il invente un langage pictural d’une puissance inégalée, fait de corps, de mots, de rage. Jean-Michel Basquiat, aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands peintres du XXe siècle, devient ici, pour la première fois, un personnage de roman. Pierre Ducrozet suit le parcours d’un garçon qui se rêve héroïque dans un monde qui ne l’est pas.
Ardente et poétique, cette fiction biographique épouse la fougue de l’acte créateur tel que le pratiquait celui que l’auteur rebaptise “Jay” : les mots se heurtent et sonnent pour dire le combat qu’il mena contre un monde décevant de torpeur, dégoûtant de corruption et d’hypocrisie – et contre lui-même. Il a le génie, il a la grâce. Aura-t-il la force de mener une telle bataille ?
Un personnage fascinant dans une ville en ébullition ; une épopée contemporaine.
Ardente et poétique, cette fiction biographique épouse la fougue de l’acte créateur tel que le pratiquait celui que l’auteur rebaptise “Jay” : les mots se heurtent et sonnent pour dire le combat qu’il mena contre un monde décevant de torpeur, dégoûtant de corruption et d’hypocrisie – et contre lui-même. Il a le génie, il a la grâce. Aura-t-il la force de mener une telle bataille ?
Un personnage fascinant dans une ville en ébullition ; une épopée contemporaine.